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9 septembre 2019 1 09 /09 /septembre /2019 10:01

         On se souvient de Jean de Florette se tuant à rechercher de l’eau, et l’on conserve l’image du sourcier, une sorte d’illuminé découvrant de l’eau grâce à une baguette magique qu’il est le seul à pouvoir manipuler utilement pour dénicher le précieux liquide. Mais on a évolué depuis ce temps-là et, à l’annonce de la sécheresse qu’on envisage se généralisant, on ne voit plus les sourciers sous le même angle, mais constituant des experts bien utiles en la matière et pas des farfelus dont on se moquait parfois avec l’esprit rationnel dont on s’estimait détenteur.  Et s’il existe plusieurs façons de trouver de l‘eau, pourquoi celle-là, qui a fait ses preuve en maintes circonstances, ne serait-elle pas admise comme étant aussi scientifique que d’autres à nous aspirer confiance, après en avoir écarté les plaisantins évidemment qui, là comme ailleurs, en profitent pour tenter de se faire une réputation ?

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7 septembre 2019 6 07 /09 /septembre /2019 09:35

            La trottinette jusqu’à présent n’avait jamais posé de problèmes de circulation, c’était plutôt un jouet pour enfants parmi tant d’autres qui n’intéressait guère les adultes. Mais voici que récemment, elle est devenue électrique, et c’est alors que tout a changé, elle devient un engin motorisé à part entière, elle connaît un développement impressionnant, et comme c’est toujours le cas avec les nouveautés qui surgissent brusquement, la réglementation, pourtant si tatillonne par ailleurs, n’a pas suivi et les voies publiques se trouvent prises au dépourvu devant cet afflux imprévu. Et ces trottinettes ne sont pas les  seules à venir s’ajouter aux engins de toutes sortes déjà en circulation, chacun s’équipe d’un engin à moteur individuel autonome sur lequel il faut bien appliquer une réglementation adéquate.  Alors les additifs au fameux code de la  route, on les sorte dans la foulée ?

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5 septembre 2019 4 05 /09 /septembre /2019 10:34

          Lorsque, ayant un certain âge, vous montez dans un transport en commun et qu’aucun siège ne soit disponible, il arrive que votre arrivée ne soit pas même pas remarquée ou, au contraire, que quelqu’un se lève, vous invitant à prendre sa place, que vous acceptez ou refusez. Si vous l’acceptez, n’oubliez pas de le remercier, son geste est pris en compte, mais si vous la refusez, regardez sa réaction : peut-être est-il satisfait d’avoir fait le geste, mais est-il heureux de conserver sa place, la conscience en paix, mais peut-être au contraire est-il franchement déçu d’avoir pensé faire sa BA sans être considéré par le destinataire, alors, prenez le soin de le remercier également, en ajoutant, pourquoi pas, quelques mots d’excuse, justifiant votre refus. C’était peut-être la première fois qu’il cédait sa place dans un transport collectif, ça l’incitera à continuer à respecter les personnes âgées avec plaisir !

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3 septembre 2019 2 03 /09 /septembre /2019 15:03

          Sans être spécialiste en matière, en cet été 2019, il est un fait qui n’échappe sans doute à personne, c’est la raréfaction des insectes qui certes parfois nous importunaient, mais dont nous acceptions la présence par nécessité. C’est qu’en effet, moins.d’insectes, c’est moins d’oiseaux, et ceux-là au moins on savait les apprécier., comme d’ailleurs certains insectes comme les abeilles, les papillons ou les coccinelles pour ne citer que ceux-là. Et cette année, nos moustiquaires ne nous sont même plus très utiles, c’est assez dire que les insectes nous font défaut ! Alors oui, on souhaite leur retour la saison prochaine, c’est promis, on ne râlera plus à la première piqûre d’un moustique ou à la mouche qui tournera autour du potage, mais qu’on nous rende nos insectes, on en a bien besoin !

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1 septembre 2019 7 01 /09 /septembre /2019 09:46

     Alors que la grande question qui se posait à la rentrée précédente concernait l’autorisation éventuelle que l’on donnerait à nos collégiens de pouvoir emmener leur portable en classe, on discute cette année de l’espace numérique de travail de nos chères petites têtes blondes et brunes, tandis que leurs frères et soeurs se sont vus obligés de se présenter à l’école dès leur trois ans, c’est dire qu’il n’y a pas de temps à perdre en discussions stériles; mais qu’il faut essentiellement agir. Des têtes bien faites plutôt que bien pleines, prétendait-on jadis, on n’en est plus là aujourd’hui, juste qu’il faut que les têtes se remplissent pareillement, car il ne faudrait pas que par la suite, certaines têtes dépassent, ce qui mettrait à mal le principe sacro-saint de l’égalité, engendrant de l‘élitisme, source de tous nos maux ou presque, à ce qu’il paraît évidemment. Pourrait-on savoir ce qu’on nous prépare pour la rentrée suivante ?

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30 août 2019 5 30 /08 /août /2019 19:53

       A voir les papiers d’identité qui dépassent négligemment de certaines poches de jean, cela nous donne l’impression qu’à perdre ses papiers, beaucoup d’entre nous n’y accordent guère d’importance, alors que ça peut procurer beaucoup de soucis, surtout à distinguer ceux qui sont effectivement perdus pour tout le monde de ceux qui sont intentionnellement volés pour une réutilisation probablement malhonnête car c’est alors, dans la nature, un individu qui se fait passer pour vous, et à vos dépens évidemment, même si vous estimez qu’ayant fait opposition vous êtes tranquille de ce côté-là. Un individu quelconque, spécialement ni bon ni mauvais, mais qui tenté par l’expérience se prend au jeu et, sous le couvert de l’impunité,  se met à vous créer toutes sortes d’ennuis imprévisibles évidemment. Alors, perdre ses papiers ça peut arriver à tout le monde, mais la vigilance doit être la règle !

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28 août 2019 3 28 /08 /août /2019 07:58

            « Les paradoxes d’aujourd’hui sont les préjugés de demain » (Marcel Proust)

 

             Les préjugés de demain, on peut les envisager, mais on ne les connaît pas encore avec certitude, puisqu‘on ne les pas encore vécus, tandis que les préjugés d’aujourd’hui, on peut se rappeler qu’ils étaient des paradoxes hier puisque nous les avons éprouvés ainsi en leur temps. Non que pour faire d’un paradoxe un préjugé, il suffit de laisser passer le temps,, il y des des paradoxes qui ne deviennent jamais des préjugés, mais restent des paradoxes,  de même que nous avons des préjugés qui n’ont jamais été des paradoxes, mais restent des préjugés. Ceci dit, paradoxes comme préjugés n’apparaissent en être qu’à certains et pas à d’autres. Ne généralisons donc pas trop vite la citation de Marcel Proust et disons qu’il peut arriver, plus ou moins fréquemment, que d’anciens paradoxes sont devenus des préjugés…

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25 août 2019 7 25 /08 /août /2019 21:17

          A se regarder les yeux dans les yeux, on ne peut rien se cacher, ce doit être la raison pour laquelle certains ne cherchent jamais votre regard, voire même le fuit, non toujours  pour vous mentir sur le sujet abordé, mais par crainte que vous découvriez des choses plus intimes qu’ils veulent voir rester secrètes. Aussi, tant que deux personnes ne se regardent pas les yeux dans les yeux, on ne peut pas dire qu’elles se connaissent, seulement qu’elles se sont rencontrées ! Voyez le jeune enfant qui recherche votre regard et manifeste sa joie de l’avoir capté, à son stade il estime avoir fait votre connaissance, avant ce premier échange vous n’êtes pour lui qu’une chose étrangère. Dans les manifestations publiques, certains orateurs savent donner l’impression aux présents de les regarder individuellement les yeux dans les yeux, d’autres pas, et cela crée la réussite ou l’échec de la rencontre…

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23 août 2019 5 23 /08 /août /2019 10:37

       La terrible épreuve de l’achat des fournitures scolaires serait subie par toutes les familles à l’approche de la rentrée scolaire, heureusement que d’avoir pour un couple des enfants qui l’entourent réserve d’autres satisfactions que cette corvée annuelle. Une corvée certes, mais quand même pas une terrible épreuve ! Il est vrai qu’à l’avoir soi-même expérimentée, on n’en sort pas indemne et l’on se demande pourquoi l’Education nationale, qui doit pourtant abonder de gens compétents, n’ait pas encore trouvé de solution à ce problème récurrent alors que tous les parents se révèlent capables d’en proposer une. Pour l’instant on en est encore à leur suggérer la date la plus propice pour accomplir cette tâche, au début ou à la fin des vacances. Certes, c’est montrer qu’on y pense, mais de là à agir, les maternelles d’aujourd’hui passeront encore leur bac sous la forme actuelle…

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21 août 2019 3 21 /08 /août /2019 09:45

                A nous souvenir, peut-être avec un peu de nostalgie, de nos séances de cinéma jadis, on peut comprendre qu’aujourd’hui, certains n’hésitent pas à sortir de la salle, le film tout juste terminé ou encore dans les dernières images, pour gagner la sortie en évitant la foule des spectateurs. C’est qu’assister à une séance, ce n’est plus l’occupation d’un après-midi ou d’une soirée, mais un passage de deux heures, souvent moins, un interlude entre deux autres occupations, la suivante ne devant surtout pas être ratée. On passe ainsi d’une occupation à l’autre sans se donner le moindre recul, estimant ainsi accumuler le plus de choses possibles, bien souvent pour n’en retenir aucune. Jadis, les distractions étaient rares, mais chacune d’elle retenait toute notre attention, voire rester telle quelle en mémoire bien longtemps après et pouvait être reprise. On en profitait plusieurs fois, toujours avec plaisir. Aujourd’hui, on passe sans cesse à autre chose et on n‘y revient plus. Serait-ce mieux ainsi ?

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