Le 25 juillet 2015, j'avais commenté cette phrase d’Albert Camus sur mon blog et je la retrouve en ce début septembre nettement en tête des consultations d’internautes. Certes, à consulter Google, on est invité à consulter mon blog pour en savoir davantage sur cette phrase, ce qui m’amène à penser qu’à être interrogés sur un sujet, de nombreux lycéens consultent Internet avant d’orienter leurs propres réflexions. Mais s’ils aboutissent à suivre ce que j’écrivais alors, je leur rappelle que cela ne leur donnera pas pour autant une bonne note. Je reste en fait fidèle au texte de mon introduction :
« Si mon blog s’intitule « De la simple opinion à une plus mûre réflexion », ce n’est pas parce que, lorsque le sujet porte sur des articles dont j’ai pris connaissance, je considère qu’ils n’émettent qu’une simple opinion que je me dois de transformer par une plus mûre réflexion, je n’ai pas cette prétention, mais que la simple opinion que je pourrais avoir, et d’autres aussi, à leur sujet, vaut bien de ma part, tant ils retiennent mon attention, un approfondissement tout à fait personnel. Je ne perçois pas pour autant la nécessité de voir cette réflexion s’imposer aux autres comme étant une quelconque vérité, attendant de leur part davantage d’objections que d’approbations ».
Objections ou approbations, je n’en ai relativement pas beaucoup par rapport au nombre de textes publiés, - plus de mille six cents !- , certes je le déplore, mais je poursuis la tâche que j’ai entreprise avec le sentiment de ne pas être tout à fait inutile. A tous ceux qui prennent la patience de me lire, salut !