Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
21 septembre 2016 3 21 /09 /septembre /2016 08:23

Flashé ou pas flashé, tout est là ! Flashé, c’est l’amende et la perte de points, en un mot la malchance, pas flashé, c’est la chance d’avoir échappé au pire. Et on en est tous ou presque à ces considérations personnelles. pas de considération de la dangerosité de l’endroit qui justifie la présence du radar comme un rappel à la prudence. Pas vu, pas pris, ainsi chaque fois qu’un radar est signalé, il est considéré comme un « pompe à fric », pas comme un avertisseur de danger. Et le pire est que c’est parfois vrai…

…mais pas toujours, et alors il n’évite pas les accidents qui se produisent avant ou après, un simple décalage, alors qu’il devrait inciter tous les automobilistes (et motocyclistes) à la modération des vitesses, qu’il soit présent ou absent. Mais qu’est-ce donc qui pousse tant de conducteurs à rouler toujours plus vite qu’ils ne devraient ? Que le temps de transfert d’un endroit à un autre est du temps perdu et que l’on ne veut jamais perdre son temps ? C’est ce sentiment-là qu’il faudrait parvenir à éradiquer, mais comment ? A vos réflexions !

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2016 1 19 /09 /septembre /2016 09:54

Jadis, on considérait que les animaux étaient pleinement responsables de leurs actes, et on les jugeait devant un tribunal alors qu’ils ne pouvaient pas se défendre. Maintenant, c’est leur propriétaire qui devient responsable de leurs agissements, mais on n’hésite pas à les supprimer s’ils se sont montrés dangereux.

On continue donc à penser que les animaux sont toujours responsables de leurs actes, ont donc une capacité de réflexion, donc de responsabilité. Et tous les animaux n’ont pas de propriétaires, les animaux sauvages sont jugés responsables, mais ne passent plus en jugement, on les supprime tout simplement sans forme de procès (accusation et défense) que l’on réserve aux humains qui ont la possibilité de se défendre. Fondamentalement, rien n’a changé, la forme seule est différente.

L’animal n’est pas considéré comme une machine, comme Descartes l’imaginait, mais bien comme un être pensant, plus ou moins suivant sa place dans la chaîne évolutive. Et c’est bien reconnaître que l’espèce humaine diffère des espèces animales par le niveau qu’elle a atteint dans sa complexité, une différence de niveau, certes, mais pas de nature.

Partager cet article
Repost0
17 septembre 2016 6 17 /09 /septembre /2016 08:52

Ah, la carte scolaire, elle n’a pas toujours existé, c’est une invention relativement récente qui ne fait pas que des heureux ! On pourrait penser en effet que dans une démocratie comme la nôtre, la liberté serait totale pour les parents de choisir l’établissement scolaire qu’ils préfèrent pour leur progéniture.

Mais il semble que, parce que nous sommes en démocratie précisément, notre liberté individuelle est contrainte à se limiter en permanence dans quasiment tous les domaines pour respecter un certain fonctionnement de la collectivité. On peut quand même se demander si la mixité sociale devrait être imposée à chacun de l’extérieur par des réglementations de plus en plus restrictives.

N’est-ce pas, dans une certaine mesure, réduire le cerveau d’un citoyen à un simple récepteur de consignes venues d’ailleurs, au lieu de lui laisser agir un peu plus librement en suivant davantage des règles de bon sens ? Le bon sens étant…vous connaissez la suite.

Partager cet article
Repost0
15 septembre 2016 4 15 /09 /septembre /2016 09:08

Le 25 juillet 2015, j'avais commenté cette phrase d’Albert Camus sur mon blog et je la retrouve en ce début septembre nettement en tête des consultations d’internautes. Certes, à consulter Google, on est invité à consulter mon blog pour en savoir davantage sur cette phrase, ce qui m’amène à penser qu’à être interrogés sur un sujet, de nombreux lycéens consultent Internet avant d’orienter leurs propres réflexions. Mais s’ils aboutissent à suivre ce que j’écrivais alors, je leur rappelle que cela ne leur donnera pas pour autant une bonne note. Je reste en fait fidèle au texte de mon introduction :

« Si mon blog s’intitule « De la simple opinion à une plus mûre réflexion », ce n’est pas parce que, lorsque le sujet porte sur des articles dont j’ai pris connaissance, je considère qu’ils n’émettent qu’une simple opinion que je me dois de transformer par une plus mûre réflexion, je n’ai pas cette prétention, mais que la simple opinion que je pourrais avoir, et d’autres aussi, à leur sujet, vaut bien de ma part, tant ils retiennent mon attention, un approfondissement tout à fait personnel. Je ne perçois pas pour autant la nécessité de voir cette réflexion s’imposer aux autres comme étant une quelconque vérité, attendant de leur part davantage d’objections que d’approbations ».

Objections ou approbations, je n’en ai relativement pas beaucoup par rapport au nombre de textes publiés, - plus de mille six cents !- , certes je le déplore, mais je poursuis la tâche que j’ai entreprise avec le sentiment de ne pas être tout à fait inutile. A tous ceux qui prennent la patience de me lire, salut !

Partager cet article
Repost0
13 septembre 2016 2 13 /09 /septembre /2016 07:23

Il est vrai qu’à image des adultes, les enfants aujourd’hui sont plus indisciplinés, inattentifs et bruyants que ne l’étaient leurs parents et grands-parents au même âge, et que le comportement dans le cadre scolaire a bien changé. Mais faudrait-il il en imputer toute la responsabilité aux élèves, et pas du tout aux enseignants ? Notons que, même s’ils sont moins nombreux que par le passé, les professeurs qui se révèlent capables de tenir leurs classes, de s’en faire respecter et même très bien apprécier, ne sont pas pourtant des extra-terrestres, mais des être humains conscients des difficultés et qui s’attèlent à les résoudre. Ce qui semble accréditer le fait que les responsabilités sont quand même partagées et qu’en rejetant tout sur les élèves, on ne risque guère de résoudre la situation désagréable que nous connaissons dans la plupart des établissements scolaires...

Partager cet article
Repost0
11 septembre 2016 7 11 /09 /septembre /2016 09:19

Soyons précis, certains maires n’offrent pas le permis de conduire à des jeunes de leur ville en échange de menus travaux, (ce ne serait pas très légal, n’est-ce pas ?), c'est aux jeunes eux-mêmes qu’il appartient de passer l’examen et aussi de le réussir. Ces maires n’en assurent que les frais, et c’est déjà une excellente idée.

Ceci dit, l’opération va bien dans le sens de réduire l’assistanat, ce principe d’aider celui qui est dans le besoin sans rien lui demander en échange, c’est-à-dire de considérer l’assisté comme n’étant pas son semblable, son égal en droits et en devoirs. L’assistanat, poussé à l’extrême, crée deux catégories de citoyens, et si certains s’en satisfont, ce n’est pas le cas de tous, on a chacun son propre sentiment sur la dignité humaine…

Partager cet article
Repost0
9 septembre 2016 5 09 /09 /septembre /2016 18:33

Une personne sur neuf que vous rencontrez au hasard de vos sorties est illettrée, c’est énorme, et l’on peut comprendre ainsi pas mal de malentendus. Non qu’être illettré, c’est être de nature plus violente qu’un autre, mais à ne pas se comprendre, on épuise rapidement ses tentatives d’explications verbales pour être tenté d’utiliser d’autres arguments souvent moins pacifiques.
L’illettrisme est un mal de société qu’il faudrait non seulement combattre, mais vaincre. Comment peut-on encore en être là dans une région évoluée comme la nôtre ? Serait-ce que la raison en est que ce n’est pas classé au rang des priorités, alors qu’il s’agit un élément de base fondamental de l’égalité entre les humains ? Lire, écrire et compter, on ne devrait plus revenir là-dessus
!

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2016 3 07 /09 /septembre /2016 10:24

Faut-il supprimer les avantages « injustifiés » de la fonction publique ?

La question ainsi posée est tendancieuse. On ne parle que d’avantages, et s’ils sont injustifiés, ils doivent être a priori supprimés, puisque devant la loi, les Français sont se doivent d’être égaux entre eux. Que l’on distingue public et privé, par contre, ne choque personne, et l’on comprend que certaines fonctions d’Etat peuvent ne pas être assimilables à d’autres fonctions plus communes, des fonctions alors qualifiées de régaliennes, du ressort exclusif de l’Etat, ses serviteurs.

Alors que la fonction publique aujourd’hui est constituée aujourd’hui d’une majorité de fonctionnaires qui pourraient, certains disent devraient, ne pas en être. Quant à parler d’avantages du public par rapport au privé, le but devrait être de réformer le système, non pour réduire les avantages supposés des fonctionnaires au niveau du privé, mais de trouver une solution intermédiaire qui ferait alors améliorer la situation du privé, aujourd’hui comparativement défavorisée.

Partager cet article
Repost0
5 septembre 2016 1 05 /09 /septembre /2016 10:47

Fréquemment sur la Côte d’Azur pour raisons familiales, j’achetais quotidiennement Nice-Matin, pas tant pour les nouvelles du coin, mais essentiellement pour le billet de Philippe Bouvard. Le Bouvard des Grosses Têtes, je ne l’appréciais pas, et donc ne le regardais jamais, allez savoir pourquoi, tous les goûts sont dans la nature, mais je me délectais de la lecture de ses billets, toujours sujets à réflexion et à commentaire intéressants.

Le voici donc à 87 ans, à se séparer de sa maison parisienne, notamment pour « un escalier difficile à monter ». A cet âge, on n’a plus la souplesse de ses vingt ans, loin s’en faut, il faut prendre beaucoup de précautions avec sa condition physique, mais l’essentiel n’est-il pas, pour lui comme pour tant d’autres, de conserver une bonne santé mentale, d’être en possession de toutes ses facultés, pas celles sportives évidemment, mais intellectuelles ?

Partager cet article
Repost0
3 septembre 2016 6 03 /09 /septembre /2016 18:19

Ce que pensent les adultes plus ou moins âgés aujourd’hui de l’école du passé, celle dont ils étaient alors les jeunes élèves, c’est que c’était une époque agréable, mais est-ce ce qu’ils en pensaient alors ? N’est-ce pas plutôt de leur jeunesse dont ils sont quelque peu nostalgiques ? Ainsi, la question de l’uniforme dont ils seraient aujourd’hui plutôt partisans, en tant que parents, qu’en pensaient-ils lorsqu’ils étaient sur les bancs de l’école, et qu’en pensaient en ce temps-là leurs parents ? On croit souvent se souvenir de son passé fidèlement, comme si on pouvait le retrouver dans toute sa fraîcheur, mais le temps a passé et il nous apparaît différent de ce qu’il était réellement.

Partager cet article
Repost0